• 9éme ETAPE:SAUMUR-MONTJEAN sur LOIRE:"LA PLUIE, LES PANNES"

    3 Septembre 2008 

     10ème ETAPE – SAUMUR – MONTJEAN-SUR-LOIRE<o:p></o:p>

    La pluie et les pannes<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    La nuit dernière, nous avons été réveillés plusieurs fois par le bruit de la pluie sur le toit du camping-car. Nous nous sommes relevés pour fermer lanterneaux et fenêtres mais sans aucun effet sur le temps puisqu’il a continué à pleuvoir. Nous savions déjà que la journée serait humide, les météos locales étant unanimes sur le sujet.<o:p></o:p>

    Hier soir, nous avons diné dans le bungalow et avons fini la soirée autour d’une bouteille de Chartreuse verte de fabrication artisanale et excellente au demeurant. <o:p></o:p>

    Auparavant, Gégé s’est préoccupé de l’hébergement de la 10ème étape ayant un peu révisé le parcours qu’il jugeait un peu long pour la fin. Aussi a-t-il coupé en deux le parcours final pour désigner Montjean-sur-Loire, terre d’accueil des pédaleurs grisonnants.<o:p></o:p>

    La fin de saison permet de trouver facilement ce que l’on cherche sur les terrains de camping et, sans problème, nous réservons un bungalow et un emplacement contigu pour le camping-car.<o:p></o:p>

    Ce matin, le réveil est difficile à 6 h 00, la pluie du matin n’arrête peut-être pas le pèlerin mais freine considérablement l’enthousiasme des Papys. Nous nous retrouvons à la douche avant l’heure puisqu’il faut traverser une zone conséquente balayée par la pluie avant d’arriver aux sanitaires.<o:p></o:p>

    Le petit déjeuner traîne un peu en longueur puis : « quand faut y aller, faut y aller ! », nous enfourchons nos vélos et il ne faut que quelques tours de pédales pour être trempés.<o:p></o:p>

    Nous quittons Saumur sans un regard car toute notre attention est requise pour évoluer sur la piste cyclable qui nous fait sortir de la ville pour rejoindre les berges de la Loire.<o:p></o:p>

    Le froid nous saisit le corps, quel contraste avec les journées précédentes ! Nous roulons sur la D952 assez fréquentée par les voitures et camions qui nous arrosent au passage ; nous sommes trempés.<o:p></o:p>

    Nous sommes sur la rive gauche de la Loire que nous apercevons souvent, large, sauvage, belle sous la pluie. Nous roulons ainsi jusqu’à Gennes où, enfin, nous retrouvons la piste de l’Euroveloroute où nous ne croisons guère de cycliste.<o:p></o:p>

    Le balisage est correct, la piste en bon état et nous roulons d’une bonne allure, Gillou donnant le tempo, son derrière lui permettant ce matin quelques fantaisies. Nous perdons de temps en temps la piste pour nous retrouver sur la route dans un village. En fait, la piste est régulièrement déviée pour obliger les cyclistes à visiter ce village au gré des souhaits des communes et conseils généraux qui ont financé les travaux et exigent en contrepartie ses dérivations pour faire marcher leurs commerces locaux.<o:p></o:p>

    Aussi, des bords de Loire aux cœurs des villages d’Anjou, nous arrivons au sud d’Angers où nous traversons la Loire par les ponts de Cé pour nous retrouver rive droite. Nous empruntons une piste cyclable jusqu’à Bouchemaine lieu de confluence de la Maine et de la Loire où nous perdons la piste de l’Eurovéloroute et nous nous retrouvons sur une départementale où nous n’avons rien à y faire.<o:p></o:p>

    Il se trouve que le vélo de Gillou donne des signes de fatigue, un jeu important à la roue arrière nous oblige à stopper. Après un premier démontage et un examen attentif, nous devons faire appel au camping-car pour nous fournir les outils nécessaires à la réparation.<o:p></o:p>

    Or, les filles sont en visite touristique à Fontevraud. Nous nous rendons tant bien que mal au village suivant, Savennières, où un monsieur sympathique nous fournit les clés nécessaires. La pluie a cessé. La réparation est terminée. Nous reprenons la route mais bien vite les freins arrière du vélo de Gégé sont à l’agonie.<o:p></o:p>

    Nouvel arrêt, Gégé retourne les patins qui sont usés jusqu’au support ; cette réparation de fortune nous permet de rentrer tambour battant au camping de Montjean-sur-Loire que nous touchons après avoir traversé le pont à hauteur de St Germain-des-Prés. Eh oui !!!!!!<o:p></o:p>

    Une bonne révision des bicyclettes s’impose ! Gégé passe nos montures au jet avant de rejoindre nos emplacements pour la nuit.<o:p></o:p>

    Nous avons parcouru 95 kms en<o:p></o:p>

    Le cumul est de 999 km 820 m au compteur officiel de Gégé ; nous n’avons pas encore fait 1000 kms !!  <o:p></o:p>


  • Commentaires

    1
    visiteur_riri_dem_mr
    Jeudi 4 Septembre 2008 à 21:35
    Salut la bande,
    Pour vous consoler, nous avons le m? temps ici, avec en sus, la temp?ture habituelle du jour de pluie dans notre belle Franche-comt?Malgr?ela, je reste persuad?u'il est plus plaisant d'?e sous la pluie en v? le long de la Loire que assis derri? un bureau chez Peugeot!!
    Encore un petit effort, vous ?s les plus fort les p'tits gars d'Belfort.
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :