• 05 sept 2008 

    11ème ETAPE: PONT-SAINT-MARTIN – PREFAILLES<o:p></o:p>

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    Dans la pluie et dans le vent du matin ………………….<o:p></o:p>

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    La route va, la route va son train. Nous avons passé la soirée en famille chez Alain et Cathy, les enfants ne nous ont pas lachés et le repas fut animé.<o:p></o:p>

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    Edwige, Gégé et Gillou ont dormis chez Cathy ; Pat et Jo dans leur camion garé devant la maison.<o:p></o:p>

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    Nous sommes repartis pour la dernière étape de notre périple sous la tempête. Alain nous accompagne, c’est un sportif dans l’âme et il n’a pas hésité à prendre un jour de congé pour nous emmener jusqu’à Préfailles près de la point Saint-Gildas où les filles on réservé les bungalow et l’emplacement du camion au camping ELEOVIC souvent fréquenté par Alain Bourgnon grand navigateur français.<o:p></o:p>

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    La pluie et les bourrasques de vent rendent le parcours très difficile ; Alain assure le train et abrite autant qu’il le peut ses compagnons de route. Nous passons devant AIRBUS à Bouguenais lieu de travail d’Alain.<o:p></o:p>

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    Péniblement, sous les grains, nous passons La Montagne (il n’y aura pas de grand prix aujourd’hui !) puis Le Pellerin et rejoignons le canal de la Martinière.<o:p></o:p>

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    Le temps s’étant momentanément calmé, nous touchons du vent arrière et effectuons la vingtaine de kilomètres qui nous séparent de Paimboeuf en 45 minutes environ. <o:p></o:p>

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    Les filles nous informent qu’elles sont arrivées au camping et que le ciel se dégage sous les vents tempétueux de l’Atlantique. Le moral revient mais la roue arrière du vélo de Gillou en profite pour jouer un peu plus. La rage au cœur pour la énième fois, il resserre ce satané moyeu et nous reprenons la route qui nous fera rejoindre la Vélocéane, piste cyclable des bords de mer.<o:p></o:p>

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    Nous avançons très difficilement, le vent a changé de sens et debout sur les pédales, nous faisons du sur-place. A Saint-Brévin, la piste nous mène sur la plage où le sable, levé par le vent, nous cingle les jambes et le visage ; heureusement que nous sommes équipés de lunettes.<o:p></o:p>

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    De Saint-Michel-Chef-Chef (le pays du Petit Beurre) à Préfailles, nous peinons sous la tempête, fourbus, usés nous rejoignons le camping. Les derniers kilomètres sont les plus difficiles de notre grande promenade.<o:p></o:p>

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    Alain nous a vraiment tiré jusqu’à l’arrivée, sa puissance physique et ses encouragements nous ont été précieux. <o:p></o:p>

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    Nous retrouvons les filles et la joie au cœur, nous nous embrassons. Nous n’aurons pas le temps de nous rendre à Pornic pour y déguster la glace de notre projet. Nous avons perdu trop de temps aujourd’hui.<o:p></o:p>

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    Nous nous ruons sur le repas préparé par nos admirables nanas, malgré la perspective du restaurant de fruits de mer réservé par Jo à la Flottille pour 20 h 00. Cathy et les enfants nous rejoignent au camping ; ils passeront la nuit avec nous dans le bungalow réservé pour l’occasion.<o:p></o:p>

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    Nous sablons le champagne apporté par Cathy pour célébrer la performance des trois mousquetaires de la bicyclette. Nous nous laissons porter par la joie du moment et les crises de fou-rires se succèdent.<o:p></o:p>

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    Les plaisanteries battent des records de nullité mais il est des jours comme ça où un mot, une phrase déplorable déclenchent des  avalanches de rires incontrôlables. C’est si bon !!!<o:p></o:p>

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    Nous rejoignons le restaurant «la Flottille » où nous assistons au spectacle de la mer déchaînée ; les vents redoublent de rage, mais nous nous sommes attablés et dégustons les excellents fruits de mer préparés pour nous.<o:p></o:p>

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    La perspective de dormir dans la tempête de la Côte de Jade effraie un peu le petit groupe sauf peut-être les papys qui sont certains de sombrer dans un sommeil que même le canon ne troublera pas.<o:p></o:p>

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    Nous avons parcouru 90 kms en 6 heures. Nous sommes au terme de notre aventure.<o:p></o:p>

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    Merci à vous, supporters inconditionnels !<o:p></o:p>

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    Continuez à visiter notre blog, nous avons beaucoup de commentaires à y porter !!<o:p></o:p>

     


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  • 04 sept 2008 

    10éme ETAPE: MONTJEAN-SUR-LOIRE – PONT-SAINT-MARTIN<o:p></o:p>

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    Les Retrouvailles<o:p></o:p>

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    Sur le camping de Montjean-sur-Loire, nous positionnons Totor sur un emplacement proche du bungalow de Gégé, Edwige et Gillou. Première constatation, les chambres du bungalow sont exigües, une fois les sacs déposés, il n’est guère possible d’y pénétrer. L’avantage, c’est que la salle à manger est plus spacieuse.<o:p></o:p>

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    Après avoir mis en marche le chauffe-eau et le frigo, Edwige s’active pour préparer le diner tandis que Jo s’occupe du lavage des équipements. Note intendance est formidable, arrivées peu de temps avant nous, elles ont fait les démarches administratives habituelles du camping ; tout est prêt en peu de temps.<o:p></o:p>

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    Dans la journée, elles prennent contact avec plusieurs campings pour l’étape prochaine et s’assurent qu’ils disposent de location de bungalow, de machine à laver, de sèche-linge et font les réservations nécessaires. A l’étape, tout est organisé pour nous faciliter la vie.<o:p></o:p>

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    La première action à l’arrivée des cyclistes : dégustation d’une bière. Celle-ci se fait dans un silence religieux puis, sans attendre, nous passons à table car les papys sont affamés. La douche viendra après.<o:p></o:p>

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    Comme l’étape de demain est relativement courte (environ 80 kms), nous décidons de faire la grasse matinée et le départ est fixé à midi.<o:p></o:p>

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    Nous quittons Montjean-sur-Loire et dès la sortie du village, le compteur de Gégé annonce 1000 kms.<o:p></o:p>

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    Nous longeons la Loire, ses bancs de sable, ses eaux lentes et verdâtres sous le ciel gris. Les bâteaux à fond plat immobiles attendent un improbable départ mais les eaux basses en cette saison ne permettent pas la navigation.<o:p></o:p>

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    Gillou regrette de ne pouvoir faire les photos qui s’imposent, le temps ne le permet pas. Nous roulons jusqu’à Saint-Florent-Le-Vieil et nous nous arrêtons au Tribal- bar pour fêter les mille kilomètres de notre aventure autour d’une bière.<o:p></o:p>

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    Deux cyclistes suisses sont installés à la table d’à côté ; nous lions conversation et apprenons qu’ils parcourent l’EUROVELOROUTE depuis Orléans. Ils aiment la France et bourlinguent depuis longtemps sur les routes de notre beau pays.<o:p></o:p>

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    Nous reprenons la route jusqu’à Ancenis et traversons la Loire pour rejoindre Oudon et son beau château médieval que nous admirons au passage. <o:p></o:p>

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    Malheureusement, la roue arrière du vélo de Gillou prend de plus en plus de jeu. Nous devons emprunter de l’outillage pour resserrer le moyeu mais quelques kilomètres plus loin, le problème reste entier.<o:p></o:p>

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    Un sympathique monsieur nous indique un mécanicien susceptible de nous aider et se propose d’y transporter la bicyclette. Nous le remercions chaleureusement mais là encore, la réparation ne tient pas. <o:p></o:p>

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    A Thouaré-sur-Loire, nous partons à la recherche d’un marchand de cycles via un garage Ford dont les mécanos se mettent à notre disposition pour nous aider. Enfin, après une réparation de fortune, aucun « spécialiste » rencontré ne disposant de roue adaptée, nous traversons la Loire au pont de Bellevue à l’entrée de Nantes et rejoignons tant bien que mal Pont-Saint-Martin.<o:p></o:p>

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    Les filles nous ont donné rendez-vous sur le parking du « Super U de Rémilly » à l’entrée du bourg afin que nous arrivions ensemble devant la mais d’Alain et de Cathy.<o:p></o:p>

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    Les enfants nous accueillent avec une joie débordante et les retrouvailles sont chaleureuses. Nous sommes tous heureux de ce moment de bonheur simple de nous retrouver.<o:p></o:p>

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    Nous avons parcouru 82 kms en 6 h 00, la moyenne en a pris un coup !!!<o:p></o:p>


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  • 3 Septembre 2008 

     10ème ETAPE – SAUMUR – MONTJEAN-SUR-LOIRE<o:p></o:p>

    La pluie et les pannes<o:p></o:p>

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    La nuit dernière, nous avons été réveillés plusieurs fois par le bruit de la pluie sur le toit du camping-car. Nous nous sommes relevés pour fermer lanterneaux et fenêtres mais sans aucun effet sur le temps puisqu’il a continué à pleuvoir. Nous savions déjà que la journée serait humide, les météos locales étant unanimes sur le sujet.<o:p></o:p>

    Hier soir, nous avons diné dans le bungalow et avons fini la soirée autour d’une bouteille de Chartreuse verte de fabrication artisanale et excellente au demeurant. <o:p></o:p>

    Auparavant, Gégé s’est préoccupé de l’hébergement de la 10ème étape ayant un peu révisé le parcours qu’il jugeait un peu long pour la fin. Aussi a-t-il coupé en deux le parcours final pour désigner Montjean-sur-Loire, terre d’accueil des pédaleurs grisonnants.<o:p></o:p>

    La fin de saison permet de trouver facilement ce que l’on cherche sur les terrains de camping et, sans problème, nous réservons un bungalow et un emplacement contigu pour le camping-car.<o:p></o:p>

    Ce matin, le réveil est difficile à 6 h 00, la pluie du matin n’arrête peut-être pas le pèlerin mais freine considérablement l’enthousiasme des Papys. Nous nous retrouvons à la douche avant l’heure puisqu’il faut traverser une zone conséquente balayée par la pluie avant d’arriver aux sanitaires.<o:p></o:p>

    Le petit déjeuner traîne un peu en longueur puis : « quand faut y aller, faut y aller ! », nous enfourchons nos vélos et il ne faut que quelques tours de pédales pour être trempés.<o:p></o:p>

    Nous quittons Saumur sans un regard car toute notre attention est requise pour évoluer sur la piste cyclable qui nous fait sortir de la ville pour rejoindre les berges de la Loire.<o:p></o:p>

    Le froid nous saisit le corps, quel contraste avec les journées précédentes ! Nous roulons sur la D952 assez fréquentée par les voitures et camions qui nous arrosent au passage ; nous sommes trempés.<o:p></o:p>

    Nous sommes sur la rive gauche de la Loire que nous apercevons souvent, large, sauvage, belle sous la pluie. Nous roulons ainsi jusqu’à Gennes où, enfin, nous retrouvons la piste de l’Euroveloroute où nous ne croisons guère de cycliste.<o:p></o:p>

    Le balisage est correct, la piste en bon état et nous roulons d’une bonne allure, Gillou donnant le tempo, son derrière lui permettant ce matin quelques fantaisies. Nous perdons de temps en temps la piste pour nous retrouver sur la route dans un village. En fait, la piste est régulièrement déviée pour obliger les cyclistes à visiter ce village au gré des souhaits des communes et conseils généraux qui ont financé les travaux et exigent en contrepartie ses dérivations pour faire marcher leurs commerces locaux.<o:p></o:p>

    Aussi, des bords de Loire aux cœurs des villages d’Anjou, nous arrivons au sud d’Angers où nous traversons la Loire par les ponts de Cé pour nous retrouver rive droite. Nous empruntons une piste cyclable jusqu’à Bouchemaine lieu de confluence de la Maine et de la Loire où nous perdons la piste de l’Eurovéloroute et nous nous retrouvons sur une départementale où nous n’avons rien à y faire.<o:p></o:p>

    Il se trouve que le vélo de Gillou donne des signes de fatigue, un jeu important à la roue arrière nous oblige à stopper. Après un premier démontage et un examen attentif, nous devons faire appel au camping-car pour nous fournir les outils nécessaires à la réparation.<o:p></o:p>

    Or, les filles sont en visite touristique à Fontevraud. Nous nous rendons tant bien que mal au village suivant, Savennières, où un monsieur sympathique nous fournit les clés nécessaires. La pluie a cessé. La réparation est terminée. Nous reprenons la route mais bien vite les freins arrière du vélo de Gégé sont à l’agonie.<o:p></o:p>

    Nouvel arrêt, Gégé retourne les patins qui sont usés jusqu’au support ; cette réparation de fortune nous permet de rentrer tambour battant au camping de Montjean-sur-Loire que nous touchons après avoir traversé le pont à hauteur de St Germain-des-Prés. Eh oui !!!!!!<o:p></o:p>

    Une bonne révision des bicyclettes s’impose ! Gégé passe nos montures au jet avant de rejoindre nos emplacements pour la nuit.<o:p></o:p>

    Nous avons parcouru 95 kms en<o:p></o:p>

    Le cumul est de 999 km 820 m au compteur officiel de Gégé ; nous n’avons pas encore fait 1000 kms !!  <o:p></o:p>


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  • 2 septembre 2008

     8éme  ETAPE: Candé-sur-Beuvron – Saumur<o:p></o:p>

    « Le vent !  encore le vent ! toujours le vent ! »<o:p></o:p>

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    Nous avons donc terminé notre soirée étape de repos au camping de Candé-sur-Beuvron, au restaurant du camping plus précisément. Après l’apéritif en l’honneur de Gilles, nous avons diné copieusement de moules frites (Edwige et Pat), saumon à l’oseille (Jo), coq au vin jaune (Gillou), entrecôte (Gégé), un dessert et le tout bien arrosé naturellement. Nous avons profité d’un bon moment de détente et les fous rires étaient nombreux.<o:p></o:p>

    Le couple de propriétaire du restaurant était sympa et nous avons beaucoup parlé avec eux .Ils sont agés et ne songent qu’à vendre leur affaire pour se retirer en Andalousie où ils possèdent un appartement. Ils nous ont offert un cognac. Nous avons pris congé vers 22 h 30.<o:p></o:p>

    Une bonne nuit de sommeil et dès 6 h 00, nous sommes sur pied. Nous retrouvons toute l’équipe au petit déjeuner dans le bungalow. Nous préparons Totor pour la route et en faisons autant pour nous.<o:p></o:p>

    Nous prenons la route vers 8 h 30 et la direction de Chaumont-sur-Loire par la D751 ; il n’y a pas de voie verte à cet endroit. Le temps est gris, il fait frais et nous enfilons un coupe vent, la pluie commence à tomber.<o:p></o:p>

    Nous progressons sur la départementale où voitures et camions nous frôlent ; c’est dangereux et nous sommes un peu « coincés ». Nous atteignons Amboise où Gilles prend la traditionnelle photo du château. <o:p></o:p>

    Nous ne voyons pas souvent la Loire, pourtant elle est là, cachée derrière des haies d’arbres. Nous atteignons Tours après avoir traversé Montlouis sur Loire. Nous traversons la ville sur les pistes cyclables et on voit que c’est la rentrée scolaire étant donné le nombre d’enfants qui se hèlent.<o:p></o:p>

    Nous avons quitté le Loir et Cher à hauteur de Mosnes pour entrer en Indre et Loire. Nous longeons un moment le Cher que nous traversons d’ailleurs pour aller rejoindre les bords de Loire à Savonnières.<o:p></o:p>

    Puis nous passons à Villandry où le Cher se jette dans la Loire et Gilles, au passage, photographie le château dans lequel, à l’instant où nous passons, les filles en font la visite. <o:p></o:p>

    Enfin, nous reprenons la route de « Loire en vélo » très ventée mais agréable à rouler. La Loire est très large et très basse, de grandes langues de sable sont envahies par les cormorans, mouettes, cygnes et autres canards. C’est superbe et nous profitons pleinement de ces paysages.<o:p></o:p>

    Vers 13 h 00, nous nous arrêtons dans un bistrot à Lachapelle aux Naux pour prendre une bière, c’est un petit plaisir qu’on s’offrira désormais.<o:p></o:p>

    Nous reprenons la route dans un vent qui forcit de plus en plus et chacun se bat contre les rafales pour avancer. A Bréhémont, nous longeons l’Indre jusqu’à Lachapelle sur Loire où nous quittons la voie verte pour rejoindre la départementale D7 qui nous fera contourner l’énorme centrale nucléaire de Chinon.<o:p></o:p>

    Puis à Candé-Saint-Martin nous admirons l’abbatiale Saint-Martin. Nous retrouvons la voie verte à Turquant où nous admirons un site troglodyte. Nous rejoignons, toujours dans le vent, le camping de Saumur en admirant au passage les nombreux châteaux du vignoble de l’Anjou.<o:p></o:p>

    Il est 17 h 00 quand nos retrouvons le camping-car et les filles. Nous avons parcouru 125 kms en 6 h 15.<o:p></o:p>


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  • 1er septembre 2008 

     Etape de repos à Candé-sur-Beuvron (45)<o:p></o:p>

    Bonne fête Gillou !<o:p></o:p>

    Après la journée assez longue d’hier, les organismes sont éprouvés. Nous aspirons à un peu de repos d’autant plus que les réveils se mettent en branle dès 6 h 00 depuis le départ. Pour les retraités que nous sommes, cela ressemble à de la provocation, ayant remisé les nôtres depuis longtemps.<o:p></o:p>

    Nous avons terminé la soirée d’hier sur la terrasse du bungalow autour d’un repas copieux. La nuit a été très agréable et dans le camping-car les volets se sont ouverts vers 8 h 30 sans occasionner en nous le moindre remord.<o:p></o:p>

    Après la douche, nous avons retrouvé l’équipe au grand complet autour d’un petit déjeuner. Notre Gillou national n’a pas faillit à sa réputation ; il avait déjà fait le tour du village pour y dénicher la boulangerie afin d’agrémenter la table de pains au chocolat et croissants. Ce garçon est d’une gentillesse hors norme, comment ne pas l’aimer ?<o:p></o:p>

    Les plaisanteries fusent, le moral est au beau fixe, le temps également ; c’est une belle journée qui s’annonce. <o:p></o:p>

    Après un tour sur le blog pour lire les messages tombés de la veille et compulser les messageries, nous nous réunissons pour un court breefing et décidons de visiter le château de Chenonceaux.<o:p></o:p>

    Notre visite va durer trois heures au cours desquelles nous prenons une leçon d’histoire de France dans un cadre superbe. Nous déambulons au rythme de notre guide audio de salles en galeries et d’escaliers en couloirs avec des points de vue sur le Cher ou sur les jardins à la française de Catherine de Médicis et Diane de Poitiers.<o:p></o:p>

    C’est un magnifique château très visité ; il mérite sa réputation. Au passage, Gillou repère des carpes dans les douves ou dans les courants du Cher ; il aimerait bien s’en occuper ….<o:p></o:p>

    Après une promenade dans les jardins, nous retrouvons l’autobus           Totor pour le retour au terrain de camping où nous nous réinstallons pour la nuit.<o:p></o:p>

    C’est la Saint-Gilles et nous allons fêter cet évènement au restaurant. C’est plus attrayant que nos barres vitaminées consommées depuis le départ. Sur la carte, il n’y a pas de « Gatorade » au citron, nous nous contenterons de vin de Bourgueil par exemple.<o:p></o:p>

    Nous avons parcouru 0 km en 0h0’.<o:p></o:p>

    Bonne fête Gillou !!<o:p></o:p>


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